jeudi 11 octobre 2007

1999, les Athanatos répondent à la pègre chamoniarde et aux ripoux du 74!



"A vous voulez jouer bandes de salopards! Vous vous croyez malins, bien protégés derrière vos rideaux de ripoux juges, ripoux gendarmes, ripoux policiers, avocats véreux? Vous voulez détruire un bâtiment industriel de plus de 600m2 en faisant croire que c'est la neige, ou des "gamins" qui voulaient jouer? Vous ,ne manquez pas d'humour noir, c'est vrai! Qui ne se souvient pas de votre mascarade sinistre lors de l'assassinat de serge Gousseault, en 1971, ou avec un cynisme crapuleux vous prétextiez qu'il y avait trop de vent pour secourir ce jeune homme malade, en perdition. un meurtre de sang froid pour l'exemple. Ah, mes beaux salopards, vous aimez cela! Cela vous fait jouir vos crimes impunis! Mais quelle gloire pour vous avec tous ces ripoux carpettes aux ordres qui n'ont plus d'humain que le nom. Vous voulez jouer, mes pauvres petits, hé bien jouons. Mais ne venez pas demander grâce lorsque vous comprendrez ce qui vous attend au bout du voyage. Nous jouons toujours jusqu'au bout et il ne servira à rien de nous toucher les genoux ou nous implorer à l'heure de votre double mort. Vous connaissiez le tarif et ce n'était pas faute de vous avoir prévenus!"
La réponse des Athanatos à cette double destruction en zone artisanale des Trabets, 74310 les Houches, organisée à la demande du Maire adjoint escroc notoire, Portier Pierre et de Michel Charlet, maire de chamonix, capitale mondiale de l'infamie, fut sans appel.
1.Avalanche de Montroc. Une des personnes qui avait commis des actes de vandalisme éliminée.
2.Incendie du tunnel du Mont Blanc.
Coups double en avertissement de la double mort in fine!
Les "jérémiades" des posts Psychose de 1 à 14 de l'automne 2002 ne sont qu'un rappel de ce qui avait été dit bien avant et qui est encore répété. le message est clair:
"Aucun survivants !"
La double mort débarrasse définitivement ce monde et tous les mondes, pour l'éternité des éternités les salopards qui n'ont plus rien à faire en vie.